1840 NAISSANCE D'EMILE ZOLA

2 avril 1840

NAISSANCE D'EMILE ZOLA

Autoportrait au béret, Émile Zola, 1902.

QUELQUE CHOSE

                                                                       sur :  UNITE

Signé Vaillant

Le pacte d'unité nous dit que nous avons pour but de mener le prolétariat à la destruction du régime capitaliste, il faut donc bien employer l'arme politique. 

Même jour, autre année.

1841 : naissance de Clément Ader, ingénieur aéronautique français († 3 mars 1925).
1858 : Fin de la Bataille de Jhansi(Révolte des Cipayes).

Émile Zola 

(à l'état civil Émile Édouard Charles Antoine Zola) est un écrivain et journaliste français, né à Paris le 2 avril 1840 et mort dans la même ville le 29 septembre 1902. Considéré comme le chef de file du naturalisme, c'est l'un des romanciers français les plus populaires, les plus publiés, traduits et commentés au monde. Ses romans ont connu de très nombreuses adaptations au cinéma et à la télévision.

LES AMIS DU MUSEE

Réunion au

SERVICE CULTUREL DE VIERZON

Objet principal : préparer l’exposition sur Edouard Vaillant

Nous avions rendez-vous à la Médiathèque – j’étais invité par Roger Coulon -, et nous fîmes quelques pas en direction de la Poste pour nous rendre dans les locaux du Service Culturel de Vierzon.

Roger Coulon ouvrit la séance en rappelant les dates importantes concernées de près ou de loin par l’exposition prévue sur Edouard Vaillant.

Bien sûr, les Amies et Amis de la Commune de Paris, au cours de leur visite dans le Cher, et particulièrement à Vierzon, devaient trouver là un temps fort de leur parcours sur les traces d’Edouard Vaillant sur ses terres natales.

Le samedi 7 novembre et le dimanche 8 sont les dates déjà fixées pour cet événement. Nous avons envisagé une visite de l’exposition le 7 au matin de préférence, mais s’il est vrai que le 7 est bien consacré à Vierzon (le 8, ce sera au tour de Bourges), les horaires exacts ne sont pas encore déterminés.

Assez logiquement et par souci de commodité, sur le plan administratif, l'exposition sera rattachée aux Amis du Musée.

L’exposition elle-même est prévue pour présenter de la façon la plus pédagogique possible l’homme et son oeuvre, les événements, l’entourage, les lieux… Elle aura pour base la politique sociale de Vaillant, et tiendra dans les divisions chronologiques suivantes : Avant la Commune - Pendant la Commune - Pendant l’exil - Après l’exil).

Roger a fait état de quelques inédits (lettre de Vaillant à Jules-Louis Breton de 1892, au maire de Dijon, Charlot, une lettre de remerciement d’Eleanor Marx –« Tussy » - adressée à la mère d’Edouard Vaillant, 2 brouillons de lettres manuscrites retrouvées dans le fonds Jules-Louis Breton,… ).

Le choix d’une salle n’a pas été immédiatement chose facile, beaucoup d’acteurs de la vie culturelle vierzonnaise, bien plus riche qu’on ne pourrait le croire, ayant déjà préempté tous les créneaux ou presque. Finalement, bonne nouvelle : les trois premières semaines de novembre verront la médiathèque de Vierzon accueillir l’exposition sans discontinuer.
Un moment l'idée nous a traversé l'esprit de profiter de cette durée d'exposition confortable pour y susciter des animations sous forme, par exemple, de conférence(s). Mais très vite il nous est apparu qu'il serait beaucoup plus pertinent d'y effectuer en continu des visites guidées, notamment en direction des scolaires.

Patrick, le chef du service, nous a rejoint. C'est beaucoup plus officiel comme ça !

Pas de souci en ce qui me concerne pour assurer la rédaction des textes  et la reproduction des documents (sans monopole ni exclusive bien entendu, tout cela étant une entreprise avant tout collective).  La médiathèque dispose de cadres qu'on pourra installer dans les meilleurs délais avec une équipe de volontaires.

En dehors des discussions techniques sur la collecte des documents, leur reproduction, la possibilité de présenter des originaux dans des conditions de sécurité satisfaisantes, les cadres et panneaux d’affichage, les proportions entre les textes et l’iconographie,… on a rencontré quelques points qui peuvent être distingués.

Les ressources que constituent les archives de la presse locale.

            Serait-il possible, par exemple, de voir s’il existe des traces des commémorations précédentes à Vierzon ?

Y a-t-il eu quelque chose pour le cinquantenaire de la mort de Vaillant (1965) ? Pour le centenaire de la Commune (1971) ? Un Vierzonnais au cours de la conférence de Michel Pinglaut a rappelé qu’il était de la séance du théâtre  Mac-Nab où Léo Mérigot et Georges Soria sont entrés dans une discussion animée…

Le baptême du lycée Edouard Vaillant en 1966 (si je ne me trompe pas) a-t-il également laissé des traces encore visibles ?

Le projet de timbre sur Edouard Vaillant. Bien sûr, c’est une décision et une réalisation nationales. Mais l’Association philatélique de Vierzon, particulièrement active, pourrait être un entremetteur efficace. Monsieur André Babillot devrait rapidement être sollicité.

Alain Leclerc a suggéré que l’on contacte également Elisabeth Badinter, arrière-petite-fille d’Edouard Vaillant. Une adhérente de Ciné Rencontres y avait déjà pensé. Ce sera évidemment fait.

On peut aussi penser, par l’intermédiaire notamment du Berry républicain, à lancer un appel à la population pour savoir si on ne pourrait pas retrouver dans la région des descendants d’Edouard Vaillant.

Autres points abordés :

- la plaque sur la maison (autorisation des propriétaires).

- la médaille (la Monnaie de Paris).

- les radios locales. Nous sommes volontaires, bien sûr.

Rendez-vous a été pris avec Roger pour nous rendre de conserve à la réunion du lendemain matin 9 heure à Bourges à l'Inspection académique. 

Merci à Joël qui une fois encore a été précieux pour prendre les photos, l’absence de grand angle de l’appareil et de recul de la pièce rendant sa tâche d’autant plus méritoire. Ne vous fiez pas aux mines parfois un peu tristes (concentration...). La réunion a été aussi sympathique que constructive! 

Prochaine réunion prévue à la médiathèque de Vierzon :

mardi 12 mai à 14h.

Vaillant pendant ce temps-là...

Edouard a 2 mois. Son père Michel et sa mère Ambroisine s'occupent de lui à leur domicile vierzonnais de la route de Paris.