vendredi 11 novembre 2016

VAILLANTISONS EN CE 11 NOVEMBRE

Nous continuons ici à
vaillantiser  !

l'écrivain soldat vierzonnais René Latouche









Et aussi :     
les interventions 
des AACPBerry





Même Vierzon l'avait oublié. Heureusement notre vaillantiseur émérite Vincent Michel, dans le Berry républicain de ce jour, répare cet oubli injuste, forcément injuste.
Dommage qu'apparemment on n'ait aucune photo de lui...











L'auteur était déjà présent dans le Berry républicain du 2 novembre 2016.












MOUVEMENT DE LA PAIX

Chers amis
En tout premier lieu la cérémonie pacifiste vendredi 11 novembre à 15h30 à Vierzon. invitation jointe

Un covoiturage est organisé : rendez-vous à 14h30 précises à la gare de Bourges. Ce serait mieux de téléphoner avant pour nous prévenir Annie 06 75 22 44 31 ou Jeannick 06 64 39 43 75
Un covoiturage de St Amand est prévu tel à Jean-Marie 06 23 46 17 86 et 02 48 96 64 50

La semaine de la solidarité internationale "soyons les acteurs d'un monde meilleur" 16I-flyer.pdf
avec du théâtre "pour seul bagage" à propos des migrants avec la compagnie Pace entrée libre
samedi 12 novembre à 20h, au Hublot 64 avenue de la Libération à Bourges
dimanche 13 novembreà 16h à la carrosserie Mesnier 3 rue Hôtel Dieu à St Amand Montrond
vendredi 18 novembre à 19h au petit théâtre de la Noue à Vierzon, accès rue des tramways de l'Indre

et aussi Mardi 15 novembre à 20h30 : au Cinéma Le Rio, 32 avenue de la Chaussée de César à Saint-Florent sur Cher  le film "la mécanique des flux (Tarif plein : 7€ ; tarif réduit : 5,50€ ). débat animé par le comité, un covoiturage sera mis en place
Mercredi 16 novembre un débat au Muséum à Bourges sur les ONG en Afghanistan, pour quelle solidarité

et la marche de 6km solidaire et pour la paix le samedi 19 novembre à 14h30 à St Just

Au plaisir de se voir bientôt, Annie








Vous venez de voir qu'ils sont partie prenante de la cérémonie:





C'est parti du lycée Edouard Vaillant : 

Berry républicain 12 novembre 2016





On doit au co-président des AACPBerry pour le Cher, Michel Pinglaut, de bénéficier du compte rendu suivant :


Les Amis berrichons de la Commune de Paris ont été présents le 11 novembre 2016 à Gentioux(Creuse) et Vierzon(Cher).

Parmi les prises de paroles à Vierzon, pour la manifestation pour la Paix, organisée par la municipalité, avec 11 organisations ou associations, le co-président des Amis Berrichons a fait une courte intervention:
"Amies, Amis, 
Si je répète Ami, c'est que l'euphonie impose que le féminin soit muet, mais , nous savons qu'il n'en est rien. Les femmes ont été dans l'action, pour la paix, pour l'évolution de la société, l'avancée des utopies.
La Commune commence d'ailleurs par un acte fondateur important: Les femmes, les hommes et les enfants de Montmartre font mettre crosse en l'air aux soldats envoyés par Thiers. Mais l'infâme politicien Thiers n'hésitera pas à assassiner plus de 30 000 communardes et communards.
Nous sommes à Vierzon, je vais donc vous lire les derniers mots de cet immense homme que fut Vaillant.
"Je suis bas, très bas, je sens que je n'en vais.(geste).Non, c'est la fin. Cette guerre me mine. Cette guerre m'a tué. Oh, cette guerre ! Avoir lutté 40 ans pour l'écarter, pour la conjurer et avoir été forcé de la subir, atroce, implacable! C'est l'écroulement de tout mon être. Et pourtant, je voudrais y survivre car je sens qu'elle est aussi un laboratoire des temps futurs et qu'elle enfantera une autre humanité".
Merci"

Ce même discours a été redonné à Fourchambault (Nièvre) le 12 novembre à 11 h, pour un rassemblement pour la réhabilitation des fusillés pour l'exemple.

 On peut retrouver ce texte p 449 du livre:
Je te parle au sujet d'Edouard Vaillant
(tome 2: Le grand Socialiste) 
de Jean-Marie Favière J.P.S.éditions

Autre information:
Le co-président Pinglaut a commandé aux éditions de l'Harmattan
Edouard Vaillant (1840-1915) de la Commune à l'Internationale
actes du colloque de 2015
organisation: le dictionnaire Maitron et les Amies, et Amis de la Commune de Paris-1871
sous la direction de Claude Pennetier et de Jean-Louis Robert.
 Faites-vous connaître auprès de Michel Pinglaut 06 48 86 88 33

Excellent slogan
VA Y'EN PAIX







Michel a laissé son monument communard portatif entre de bonnes mains...

... et il a déjà trouvé la page du livre où il lira le texte sur Edouard Vaillant.




On peut aisément restituer le contexte d'où cette citation est tirée. 












Dans un article du 22 décembre, Gustave Hervé, qui a connu la même trajectoire que Vaillant sur ce point, mais en beaucoup plus radical dans un sens comme dans l’autre, y voit carrément « le coup de grâce », comme le donne à lire alors Le Travailleur de l’Yonne, où il signe un portrait d’Edouard Vaillant quatre jours après la mort de ce dernier. Le Vaillant qui ne paraissait avoir jusqu’à l’entrée en guerre d’autre vocation que celle de justifier le sens véhiculé par son patronyme, le Vaillant incarnation de l’énergie, du courage, de la volonté et de la résistance physique qui ignore la fatigue, ce Vaillant-là ne l’a plus été désormais que par intermittence, et à partir de ce début décembre, on peut dire qu’il n’est plus. Il laisse la place à un Vaillant défait, un Vaillant éminemment pathétique, mais qui refuse la pitié. On pourrait penser, pour rendre compte de cette atmosphère, à un film, comme Les feux de la rampe de Chaplin, ou à un poème, comme Le vieux saltimbanque de Baudelaire. On pourrait aussi tourner cette scène entre lui et « son vieux compagnon Dubreuilh », comme dit Dommanget, « le secrétaire du Parti », en s’inspirant de ce portrait, de la même date que le précédent, paru lui dans L’Humanité, et intitulé « A la mémoire d’Edouard Vaillant » :

Vaillant. - Je suis bas, très bas, je sens que je m’en vais. (Dubreuilh fait un signe de protestation.) Non, c’est la fin. Cette guerre me mine. Cette guerre m’a tué. Oh ! cette guerre ! Avoir lutté quarante ans pour l’écarter, pour la conjurer et avoir été forcé de la subir, atroce, implacable ! C’est l’écroulement de tout mon être. Et pourtant, je voudrais y survivre car je sens qu’elle est aussi un laboratoire des temps futurs et qu’elle enfantera une autre humanité. Mais non, la mort est là.



Je ne sais pas quel extrait fut lu du long poème d'Aragon.  Il est vrai qu'on n'a que l'embarras du choix.





Chant de la paix - Chanson

Chanson / Poémes de Louis Aragon


Je puis dans mon jardin fleuri de 
Seine-et-Oise 
Me promener ce soir avec de nouveaux yeux 
Car la vie a repris son odeur de framboise 
Et l'étoile n'est plus un reproche des cieux

Nous l'appelions si fort qu'il fallait qu'elle vienne 
La paix ô 
Viet-Namiens qui m'aviez embrassé 
Comme je descendais de la tribune à 
Vienne 
Il y a dix-huit mois mon discours prononcé

Fils du 
Patet-Laos et vous délégués khmers 
Vous me preniez les mains et me disiez tout bas 
Des mots qui me rendaient les choses plus amères 
Plus monstrueux entre nos peuples ce combat

Ah si le sentiment qui fit cette minute
Avait pu déferler de 
Vienne sur l'Asie
Si ce que je pensais que dans mes yeux vous lûtes
Avait éteint les oeillets fauves des fusils

On aurait épargne la semence infertile 
Tant de pauvres enfants bernés et mutilés 
O cœurs d'illusion 
Maintenant où sont-ils 
Oubliés sous la terre ainsi qu'un riz volé

Ceux-là qui les ont fait avant l'âge mourir 
Prononcent aujourd'hui des mots retentissants 
Qui demain payera pour la bouche et le rire 
Pour le bras et l'esprit le regard et le sang

Allons comme toujours ces comptes-là se brouillent 
Mais pourtant aujourd'hui dans le meurtre arrêté 
Avant que les plaques d'identité se rouillent 
Pleurons fût-ce un instant la jeunesse jetée

On ne peut voir fleurir dans la terre annamite 
Ni la sauge éclatante et ni le nelombo 
Ils ne cueilleront pas les reines-marguerites 
Ceux dont aucune croix ne dit même un tombeau

Ils étaient faits pour vivre et demeurer en 
France 
Je les vois amoureux s'en revenir de nuit 
Dans quelque 
Périgord ou sur quelque 
Durance 
Sifflant un air de danse au pied d'un arbre à fruits

Les voilà tard salés d'écume au sable sec 
Après la pêche sur la plage lanternant 
Ils aiment follement cette odeur des varechs 
C'est l'heure où va s'allumer le phare tournant

Je les vois passionnés de courses cyclistes 
Au matin du 
Tour sur la route au 
Lautaret 
Tiens l'un d'eux quelque part à l'église est soliste 
Un autre chasse la perdrix au chien d'arrêt

O chantiers de la paix 
Songes 
Lèvres chantantes 
Dentelles des labeurs 
Vin blanc des soirs légers 
Dans la rue il y a des passantes tentantes 
Que c'est beau le soleil après qu'il a neigé

Tout cela tout cela que je dis en désordre 
C'est ce qu'ils n'auront pas ce qu'ils n'auront jamais 
Quand on était vivant un chien pouvait vous mordre 
On pouvait se casser la cheville 
On fumait

Je ne sais pas pourquoi la vie est une chose 
Dont on peut tout au plus exprimer 10 % 
C'est drôle un nom de général pour une rose 
Ah le bon café-crème où l'on trempe un croissant

Quand on était vivant oh ma mère ma mère 
Tout ce mal que tu t'es donné sans résultat 
Personne n'était là quand mes yeux se fermèrent 
Je n'aimerais pas trop qu'on te le racontât

Personne n'était là 
Cela parfois arrive
On rate son entrée 
On rate sa sortie

On a la mort qu'on peut et puis faute de grives
Mais nom de 
Dieu pourquoi m'avez-vous tous menti

Apaise-toi garçon car maintenant qu'y faire
C'est un tort d'en vouloir à tous de tes tourments
Si l'on était assez fort pour porter le fer
Où il faut ça se passerait tout autrement

Apaise-toi garçon 
Tu disais 
C'est la guerre
Et ça te paraissait tout-à-fait lumineux
Que pour d'autres ce soit la paix n'explique guère
Mais c'est la paix pour eux garçon la paix pour eux

Je dis la paix pâle et soudaine 
Comme un bonheur longtemps rêvé 
Comme un bonheur qu'on croit à peine 
Avoir trouvé

Je dis la paix comme une femme 
J'ouvrais la porte et tout à coup 
Ses deux bras autour de mon âme 
Et de mon cou

Je dis la paix cette fenêtre 
Qui battit l'air un beau matin 
Et le monde ne semblait être 
Qu'odeur du thym

Je dis la paix pour la lumière 
A tes pas dans cette saison 
Comme une chose coutumière 
A la maison

Pour les oiseaux et les branchages 
Verts et noirs au-dessus des eaux 
Et les alevins qui s'engagent 
Dans les roseaux

Je dis la paix pour les étoiles 
Pour toutes les heures du jour 
Aux tuiles des toits et pour toi l' 
Ombre et l'amour

Je dis la paix aux jeux d'enfance 
On court on saute on crie on rit 
On perd le fil de ce qu'on pense 
Dans la prairie

Je dis la paix mais c'est étrange 
Ce sentiment de peur que j'ai 
Car c'est mon cœur même qui change 
Léger léger

Je dis la paix vaille que vaille 
Précaire fragile et sans voix 
Mais c'est l'abeille qui travaille 
Sans qu'on la voie

Rien qu'un souffle parmi les feuilles 
Une simple hésitation 
Un rayon qui passe le seuil 
Des passions

Elle vacille elle est peu sûre 
Gomme un pied de convalescent 
Encore écoutant sa blessure 
Son sang récent

La guerre a relâché ses rênes 
La guerre a perdu la partie 
Il en reste un son sourd qui traîne 
Mal amorti

Ce sont les chars vers les casernes 
Qui font encore un peu de bruit 
Nous danserons dans les luzernes 
Jusqu'à la nuit

Tu vas voir demain tu vas voir 
Les écoliers dans les préaux 
Et ce beau temps à ne plus croire 
La météo

On va bâtir pour la jeunesse 
Des maisons et des jours heureux 
Et les amours voudront que naissent 
Leurs fils nombreux

On reconstruira par le monde 
Les merveilles incendiées 
La vie aura la taille ronde 
Sans mendier

Enfin veux-tu que j'énumère 
Les 
Versailles que nous ferons 
Les airs peuplés par les chimères 
De notre front

Et l'immense laboratoire 
Où les miracles sont humains 
Et la colombe de l'histoire 
Entre nos mains

Je sais je sais 
Tout est à faire 
Dans ce siècle où la mort campait 
Et va voir dans la stratosphère 
Si c'est la paix

Eteint ici là-bas qui couve 
Le feu court on voit bien comment 
Quelqu'un toujours donne à la louve 
Un logement

Quelqu'un toujours quelque part rêve 
Sur la table d'être le poing 
Et sous le manteau de la trêve 
Il fait le point

Je sais je sais ce qu'on peut dire 
Et le danger d'être d'endormi 
L'homme au zénith et le nadir 
A l'ennemi

Je sais mais c'est la paix quand même 
Le recul du monstre devant 
Ce que je défends 
Ce que j'aime 
Toujours vivant

C'est la paix dont les peuples savent 
Obscurément tous plus ou moins 
Contre le maître et pour l'esclave 
Qu'elle est témoin

C'est la paix des peuples où sourd 
L'eau profonde des libertés 
C'est au silence des tambours 
Le mai planté

C'est la paix couleur de la preuve 
Où le meurtre porte son nom 
A qui le voile de la veuve 
Dit 
Non

C'est la paix qui force le crime 
A s'agenouiller dans l'aveu 
Et qui crie avec les victimes 
Cessez le feu

Cessez partout le feu sur l'homme et la nature 
Sur la serre et le champ les jardins les pâtures 
Sur la table et le banc sur l'arbre et la toiture 
Sur la mer des poissons et celle des mâtures 
Sur le ciel où l'audace et l'oiseau s'aventurent 
Sur le passé de pierre où rêve la sculpture 
Sur les choses d'ici sur les choses futures 
Sur ce cœur dans son cœur qu'une mère défend 
Cessez le feu partout sur la femme et l'enfant

Sur les chemins ombreux que les amants vont prendre 
Sur les baisers ardents où des baisers s'engendrent 
Sur les yeux grands ouverts pour le plaisir entendre 
Sur les amours vannés qui laissent le bras pendre 
Sur le réveil heureux des désirs sous leur cendre 
Sur cette douceur-là qui n'est jamais à vendre 
Sur les chuchotements qui font les lits si tendres 
Et de la tête aux pieds comprendre ce qu'on sent 
Cessez le feu sur les caresses et le sang


Cessez le feu devant les crèches et l'école 
Initial balbutiement de la parole 
Et les boules de neige et le lait dans le bol 
Le rire aux doigts levés à tort des pigeon-voie 
La décalcomanie au carreau que l'on colle 
Billes saute-moutons marelles courses folles 
Et deux et deux font quatre et do ré mi fa sol 
O cahiers de bâtons solfège épèlement 
O douceur aux premières pages du roman

Cessez le feu sur le soleil des connaissances 
Le regard démêlant l'accessoire et l'essence 
L'énorme patience humaine qui recense 
La science qui sort comme une fleur des sens 
L'idée à l'accident mêlée à sa naissance 
L'homme sauf contre l'homme ayant toute licence 
Dans le laboratoire essayant sa puissance 
L'esprit qui dans les faits se plie et se déploie 
Cessez le feu sur le progrès trouvant sa loi

Cessez le feu sur ceux qui goudronnent la route 
Et sur la profondeur des mines et des soutes 
Sur le bras qui défriche ou qui construit la voûte 
Les déblaiements à pratiquer coûte que coûte 
L'épaulement de chair où le polder s'arc-boute 
Et l'effort journalier qui n'a pas droit au doute 
Pétrole acier béton cristal caoutchouc toute 
La sueur investie aux matières qu'il faut 
Cessez le feu sur l'homme et ses pas triomphaux

Cessez le feu sur la statue au corps durable
Sur le peintre qui fait un verre désirable
Sur le vers labourant aux nuages arables
La musique par qui l'hiver est tolérable
Dans la gorge le chant comme une ombre adorable
La danse qui rend tout à ses pieds admirable
Dentelle architecture aux forêts comparable
Tout l'éblouissement soudain de la beauté
Cessez cessez le feu sur ceux qui vont chanter

Cessez le feu pour départager les doctrines
Assez à la pensée opposer les machines
Au cœur croyant porter la mort dans la poitrine
Laissez comme à des fleurs au flanc de deux collines
Leurs chances de printemps l'humaine et la divine
A ces rêves de paix que divers imaginent
Le pari de 
Pascal et celui de 
Lénine
Assez trouer les yeux pour y chercher dedans
La lumière qui fait le monde en l'inondant

Cessez le feu sur ceux qui gagent sur l'aurore 
Leur morale et leur vie au lieu d'autres sur l'or 
Sur ceux même folie à vos yeux qui n'implorent 
Ni vos financements ni votre à bras-le-corps 
Et qui sans 
Plan 
Marshall sans 
Système 
Taylor 
Comptent sur le vouloir commun qu'on voit éclore 
Dans le refus commun des hommes à la mort 
Tais-toi l'atome et toi canon cesse ta toux 
Partout cessez le feu fessez le feu partout

Michel Pinglaut hyper actif.

En effet, il était déjà là...

Berry républicain 10 novembre 2016

Et encore là : 


Berry républicain 28 octobre 2016






Cliquez sur le calendrier pour découvrir
 ce qui s'est passé un
11 novembre
pendant la vie d'Edouard Vaillant




Projets en cours  pour promouvoir Edouard Vaillant





EXPOSITION ET CONFERENCE

BOURGES
Projet d'une exposition dans les locaux de la MGEN (au moment de la conférence sur Edouard Vaillant le 9 mars? A préciser...).





Mercredi 14 décembre 2016 
Matinée au lycée EDOUARD VAILLANT
Cérémonie pour le 50e anniversaire de la dénomination du lycée. 



Rentrée littéraire de septembre 2016 
Je te parle au sujet d'EDOUARD VAILLANT
Tome II : Le grand socialiste.



500 p.  19,80 €











Samedi 19 novembre 2016
Salon du livre de Vierzon
ASSOCIATION DES AMIS
DU MUSEE DE VIERZON
J'ai le plaisir de vous annoncer que le 5 ème Salon du Livre, en partenariat avec l'association Croc-Livres, aura lieu le 
Samedi 19 Novembre 2016, de 10 h à 18h, 
au Centre de Congrès de Vierzon.
Le Président,
Frédéric MORILLON 

Voir sur leberry.fr:

1er Salon du Livre d’Henrichemont
Dimanche 20 novembre de 10h à 18h
Salle polyvalente, rue Victor Hugo, 
18250 Henrichemont



Conférence Club des retraités MGEN BOURGES
Jeudi 9 mars de 14h30 à 17h
Salle de la MGEN
13 rue Michael Faraday 
18000 Bourges







vaillantiser v tr dir 
Action de redonner tout son lustre, tout son éclat, toute son importance, à une personnalité qui la méritait amplement et que l’histoire avait oubliée malencontreusement sur le bord de son chemin. 
Plus simplement :
Action de remettre dans la lumière de l’histoire quelqu'un qui en avait été indûment écarté.  

Ex : "C’est en 2015 que pour la première fois on a vaillantisé quelqu’un, et ce quelqu’un, c’était Edouard Vaillant lui-même." 


Employé absolument, le verbe a pour complément d'objet implicite le nom propre "Vaillant". 

Ex : "Le dernier numéro de notre bulletin  vaillantise." 


N’hésitez pas, qui que vous soyez, à l'employer partout par exemple dans des phrases du genre : Ils veulent vaillantiser Vaillant, etc. 


Et bien entendu le dérivé "vaillantisation" en découle naturellement. 




TOUTES NOS DATES IMPORTANTES




Rentrée littéraire de septembre 2015
Je te parle au sujet d'EDOUARD VAILLANT
Tome I : La tête pensante de la Commune.



374 p.  18,80 €







L'EDITEUR



LES POINTS DE VENTE

18

Vierzon 

 Maison de la presse Catinaud  (9 rue Voltaire)


 Espace culturel Leclerc  (48 avenue de la République)


 Presse tabac Mongeot (4 rue du Mouton)


En voir plus :

http://vaillantitude.blogspot.fr/2015/09/1907-mort-de-sully-prudhomme.html



COMPTES-RENDUS DU LIVRE


11 3 16   JEAN ANNEQUIN BLOG COMMUNE DE PARIS

29 2 16  HENRICHEMONT GIBLOG

1 11 15  MAGAZINE A VIERZON

20 10 15    DIX-HUIT BERRY REPUBLICAIN LA BOUINOTTE

28 08 15    BLOG VIERZONITUDE
http://www.vierzonitude.fr/2015/08/jean-marie-faviere-auteur-de-je-te-parle-au-sujet-d-edouard-vaillant.html




DOSSIER DE PRESSE

http://vaillantitude.blogspot.fr/2015/10/1854-naissance-de-rimbaud.html




La pensée d’Edouard Vaillant représente l’adaptation la plus parfaite du socialisme scientifique à notre tempérament national. 
(Jean Jaurès)




Vaillant n'est pas seulement un grand homme pour Vierzon, il est un grand homme pour l'histoire.

                                                                                                              (Vaillantitude)



La vaillantisation est une entreprise collective qui rassemble, et c'est tant mieux, des personnes de convictions différentes et variées qui ne regardent qu’elles. Les rapprochements avec l’actualité récente et les éventuels commentaires personnels induits n’engagent que l’auteur du blog et lui seul. 



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