 |
| Nous continuons ici à vaillantiser ! |
ancien secrétaire général des AACPP
Extrait de la dernière lettre des AACPP:
Notre ami Jean-Claude Liebermann, qui fut notre secrétaire général pendant de nombreuses années, très actif dans la préparation de nos activités (banquet, montée au mur, fête de la Commune) pour n’en évoquer que quelques unes, nous a quittés brutalement le 31 décembre.
C’était un homme de communication, toujours gentil, disponible pour les autres. Il était toujours partant pour une aide.
Ami Joël, merci d'être le passeur de notre message de condoléances, nous, les Amis Berrichons, à la famille de notre Jean-Claude.
La nouvelle de sa disparition nous a profondément touchés et attristés. La camarde, une nouvelle fois, s'est montrée versaillaise.Quand nous "montions" à Paris, c'était une grande joie, voire un bonheur, de le rencontrer . Il représentait bien la fraternité, la jovialité, la tendresse, le réconfort qui anime notre vie associative. Nous avons apprécié d'être à ses côtés, lors des promenades des "Paris communard", aux manifestions-souvenirs, au banquet, à la fête de la Commune, aux montées au Mur... Quelle belle fierté il avait, quand il portait le drapeau rouge des Amies et Amis. C'est lui qui nous a inspirés pour réaliser notre emblème en bois et tissu, pour notre comité local. Déjà, nous avions une pensée pour lui, quand nous l'arborions , chez nous, en Berry, car nous voulions faire comme lui, droit, volontaire, fier.
Désormais, nous penserons toujours à lui de cette façon. Belle idée aussi, que son uniforme de fédéré soit présent lors de la cérémonie funéraire: c'est d'ailleurs, la dernière image pour la représentation de la pièce: "Les rendez-vous du 18 mars", en Creuse, si près de chez nous, que nous avons de lui. A chaque rencontre, il avait un trait de bonne humeur, d'affection à nous dire, sur notre région berrichonne. Et le rire fusait.
Trop triste pour nous de savoir qu'il n' y aura plus ce sourire qui faisait du bien.
Il sera, à jamais, sur notre site internet: "Vaillantitude".
Salut, ami Jean-Claude, ami historique.
Les Amis berrichons de la Commune de Paris 1871
Cher Joël, confirme-moi en 2 mots la réception de ce courriel: oui da ! plutôt que OK
Nous savons que ce sera difficile pour toi, mais nous avons confiance en ta volonté d'être notre digne représentant à tous
Quelques
liens de sa présence sur le Net :
La
butte aux Cailles avec Jean-Claude Lieberman
A
NOUS Paris
Ajoutée
le 29 sept. 2016
Reportage
réalisé par les étudiants de l’EFJ, l’école du nouveau journalisme, pour A NOUS
Paris
Vive
la Commune
Quelques
jours plus tôt, un rendez-vous était pris dans les locaux des «amis de la
commune». Au rez-de-chaussée du 46, de la rue des Cinq diamants, deux vitrines.
La première pleine d’une littérature relatant l’événement de 1871, l’autre
éclaire une pièce qui accueille une grande table, d’une dizaine de chaises et
d’une flopée d’aïeux qui mettent sous pli leur brochure trimestrielle, réservée
aux 2.000 adhérents que comptent l’association à travers le monde. Un poil
moins en colère que le castriste, Jean-Claude Libermann, 67 ans, l’un des deux
secrétaires généraux de l’association, disserte. Son but, comme tous ses
camarades présents ce jour-là, ériger la commune parisienne comme un événement
historique majeur. Une action partisane, un sacerdoce: «A l’étranger, l’épisode
communard est plus connu que dans notre propre pays. Tenter de le faire
connaître est un acte militant puisque c’est la forme la plus progressive d’une
forme politique.» Une fois encore, c’est dans un passé «mythifié» que le futur
prend forme. Faille temporelle, l’âge s’évapore. Avec sa double casquette de
communiste et de franc-maçon, Jean-Claude avoue avoir pris le virage associatif
au moment de la retraite «à cet âge, on fait le point, on se demande si on a
bien organisé sa vie. Aujourd’hui, je suis devenu un boulimique de vie
associative». La retraite sonne la fin de la vie active, le vide laissé est
considérable. La vie associative devient alors le facteur socialisant. Si en
plus elle est militante, elle devient utile, Jean-Claude Libermann aussi.
Paname
autour de la Butte-aux-Cailles : les infos pratiques
Par
Olivier Couvreur
Publié
le 23/11/2014 à 11:30
PANAME
– Huitième épisode
Autour
de la Butte-aux-Cailles
Pitch
de l’épisode :
Au
cœur du XIIIème arrondissement, Yvan Hallouin débarque guidon en mains en plein
cœur d’un village: La Butte-aux-Cailles. Calme le jour, animée le soir, la
Butte-aux-Cailles reste encore aujourd’hui un bout de campagne isolé du reste
de la Capitale et de son bourdonnement. Entre un cours de tricot et un déjeuner
à la « coopérative de restauration », le Temps des Cerises, Yvan Hallouin
découvre les allées cachées de la Petite Russie, dans un quartier marqué par
son histoire rebelle et tapissé de graffitis signés Miss Tic.
Résumé
de l’épisode :
Yvan
Hallouin gravit la pente qui mène à la Butte-aux-Cailles. Véritable village
entre les murs qui a réussi à échapper au bourdonnement de la ville. En
arpentant les rues paisibles parsemées de maisonnettes, au bras de Miss Tic, «
la mère » des street-artistes, Yvan découvre aussi un quartier chargé
d’Histoire. Frédérick Gersal lui rappelle que les évènements de la Commune
explosèrent ici aussi, mais aussi que le puits artésien et l’atterrissage du
premier vol en montgolfière font de « la Butte » un lieu mythique de Paris. En
témoigne Jean-Claude Lieberman, véritable pilier du quartier, qu’Yvan rencontre
juste avant d’aller prendre un cours de tricot à L’Oisivethé. Après une
escapade dans un lieu inaccessible du quartier, la Petite Russie, Yvan file rue
des Cinq Diamants, où Mamame prépare son couscous, attendu comme chaque jour
par tous les « Cailleux ».
Miss
Tic
On
ne peut pas se balader à la Butte-aux-Cailles sans croiser les nombreux
pochoirs de la célèbre artiste Miss Tic. Yvan ne pouvait donc passer dans le
quartier sans rencontrer cette figure majeure de l’art de rue. Dans son
atelier, Miss Tic révèle à Yvan ses secrets de création. Puis ensemble, ils
partent découvrir la Butte de Miss Tic.
Intervenants
:
-
Miss Tic, street-artiste
La
Petite Russie
Derrière
une devanture d’immeuble quelconque se trouve l’un des plus beaux lieux de la
Butte-aux-Cailles : la petite Russie. Sa particularité : des maisons ont été
construites sur le toit de l’immeuble. Yvan rend visite à Jos Verheugen,
artiste-peintre hollandais qui ne quitterait son atelier-maisonnette de la
Petite Russie pour rien au monde.
Intervenant
:
-
Jos Verheugen, artiste-peintre
Contact
:
Adresse
: 22 rue Barrault, 75013 Paris
Les
Amis de la Commune de Paris
La
Butte-aux-Cailles fut le théâtre de violentes batailles entre communards et
soldats en 1871. C’est en toute logique qu’Yvan retrouve un adhérent de
l’association Les Amis de la Commune de Paris pour retracer l’histoire de cet
événement majeur et son impact sur le quartier.
Intervenant
:
-
Jean-Claude LIEBERMANN, adhérent de l’association.
Contact
:
Adresse
: 46 rue des Cinq-Diamants, 75013 Paris
Tél
: 01 45 81 60 54
Mai
: amis@commune1871.org
www.commune1871.org
Il portait bien son nom, qui, traduit de l'allemand, donne: Cher homme.
Rentrée littéraire de septembre 2016
Je te parle au sujet d'EDOUARD VAILLANT
Tome II : Le grand socialiste.
500 p. 19,80 €
560g
les 2 volumes 1044g
vaillantiser v tr dir
Action de redonner tout son lustre, tout son éclat, toute son importance, à une personnalité qui la méritait amplement et que l’histoire avait oubliée malencontreusement sur le bord de son chemin.
Plus simplement :
Action de remettre dans la lumière de l’histoire quelqu'un qui en avait été indûment écarté.
Ex : "C’est en 2015 que pour la première fois on a vaillantisé quelqu’un, et ce quelqu’un, c’était Edouard Vaillant lui-même."
Employé absolument, le verbe a pour complément d'objet implicite le nom propre "Vaillant".
Ex : "Le dernier numéro de notre bulletin vaillantise."
N’hésitez pas, qui que vous soyez, à l'employer partout par exemple dans des phrases du genre : Ils veulent vaillantiser Vaillant, etc.
Et bien entendu le dérivé "vaillantisation" en découle naturellement.
TOUTES NOS DATES IMPORTANTES
Rentrée littéraire de septembre 2015
Je te parle au sujet d'EDOUARD VAILLANT
Tome I : La tête pensante de la Commune.
374 p. 18,80 €
484g
les 2 volumes 1044g
L'EDITEUR
LES POINTS DE VENTE
18
Vierzon
Maison de la presse Catinaud (9 rue Voltaire)
Espace culturel Leclerc (48 avenue de la République)
Presse tabac Mongeot (4 rue du Mouton)
Bourges
La Poterne
Centre commercial Carrefour Bourges
36
Châteauroux
Cultura Saint-Maur
En voir plus :
http://vaillantitude.blogspot.fr/2015/09/1907-mort-de-sully-prudhomme.html
COMPTES-RENDUS DU LIVRE
11 3 16 JEAN ANNEQUIN BLOG COMMUNE DE PARIS
29 2 16 HENRICHEMONT GIBLOG
1 11 15 MAGAZINE A VIERZON
20 10 15 DIX-HUIT BERRY REPUBLICAIN LA BOUINOTTE
28 08 15 BLOG VIERZONITUDE
DOSSIER DE PRESSE
http://vaillantitude.blogspot.fr/2015/10/1854-naissance-de-rimbaud.html
La pensée d’Edouard Vaillant représente l’adaptation la plus parfaite du socialisme scientifique à notre tempérament national.
(Jean Jaurès)
Vaillant n'est pas seulement un grand homme pour Vierzon, il est un grand homme pour l'histoire.
(Vaillantitude)
La vaillantisation est une entreprise collective qui rassemble, et c'est tant mieux, des personnes de convictions différentes et variées qui ne regardent qu’elles. Les rapprochements avec l’actualité récente et les éventuels commentaires personnels induits n’engagent que l’auteur du blog et lui seul.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire